jeudi 26 juin 2008

Je crois en quoi ?

Le temps des sites mobiles arrive à un stade où plus rien ne va bouger tant qu'un browser ne s'imposera pas comme standard. Ce qui en soi n'est pas une hérésie car il existe autant de téléphone que de version de browser ayant sa propre compréhension des langages (WML, xHTML et css) et je vous fais grâce des largeurs d'images différentes.

Il devient donc naturel de dériver cette contrainte sur l'applicatif. Que ce soit en Rich Media, Java, Symbian ou autre, les développements sont certes plus lourds et les évolutions impliques un travail plus lourd, mais l'utilisation des fonctionnalités et du potentiel des téléphones est plus poussée. En effet, ces programmes utilisent actuellement tout ce que nous recherchons : la géolocalisation, le géo tagging, la connexion au réseau, la recherche dans les fichiers, la vidéo... Bref, le téléphone devient tantôt une caméra pour faire du live grâce à QIK ou Flixwagon, un moyen de faire partager ses documents (photos ou vidéos) avec Shozu, récupérer son mail (Gmail et Yahoo Go), tchater avec ses amis (eBuddy) et j'en passe.

En situation de mobilité, c'est à dire loin de toute connexion avec Internet via un ordinateur, on peut profiter à l'identique de notre techno dépendance.

Le moyen de mieux capter le client, que ce soit pour un opérateur ou un fournisseur de contenu, afin de générer de nouveaux revenus sera donc d'offrir à ses clients des applications dont les fonctionnalités doivent être simples et permettant un usage identique à ce que l'on pourrait trouver sur son ordinateur. Nous en revenons donc à la problématique de la simplexité des applications qui seront dès lors développées.

Enfin, et la problématique existe depuis le début de l'Internet mobile : qui disposera de la base de connaissances des téléphones permettant de réaliser des développements fins sur chaque téléphone.

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